[RPG] Encore une fois, une merdouille (Pv Ito)

Thomas comme d'habitude se baladé. Un éléphant qui se balançait sur une toile, toile, toile d'araigne. Et oui était une personne étrange. Enfin, tout le monde était un peu... Enfin à Yggd du moins. Tom aimait tellement la nature qu'il en aurait manger. Le soleil était éblouissent, pas un nuage en vu, pas un temps pourri comme souvent avec Thomas. Un léger sourire apparut sur le visage si jeune de Tom. Il n'avait pas vraiment grandi, toujours aussi petit mais pourtant quelques chose de plus vieux en lui était là. Peut être que personne ne l'avait remarque. Il était en train de marche sur l'herbe brûlé par les rayons du seigneur jaune, quand il se mit à pensé à ITO. Son frère de sang, son frangin, son chef de confrérie. Passons....Thom se dit que cela fessait un bail qu'il n'avait pas vu son ami. Peut être que celui ci en avait marre de lui, de ces aventures plus que dangereuse. Il avait faille mourir avec Dawn et Real ces derniers temps. Tom était en train de penser que cela faisait longtemps qu'il n'avait pas eut une conversation conne, ou intelligente avec personne. Il se souvient aussi de Dawn, son amour. Il fallait qu'il en parle à Ito des qu'il le verrait mais quand. Il était devenu invisible !!!!

Un éléphant………. Hummmumhummmmm….

« Mon dieu ! …mon dieu ! mais au mon dieu !! », voilà quelques jours que je n’arrivais plus à faire les lacets de mes chaussures correctement et je commençais à devenir un peu fou en me disant que la maladie d’ alzheimer me montait peut être au cerveau. Imaginez que ma mémoire flanche ! imaginez que je ne sois plus apte à être moi même, plus apte à être quelqu’un d’extraordinaire faisant ces lacets d’une façon extraordinaire.

Aujourd’hui, jour de pluie et de beau temps je décidais par temps de pluie d’aller me promener dans le bois pour apercevoir mon ami le corbeau aux lueurs du soleil dans les branches d’un grand châtaignier.

« Hooo, monsieur le corbeau, voulez vous me donnez votre fromage par temps de pluie car le beau temps se fait entendre ? », fixant le haut du ciel d’un bleu azur proche du pourpre je m’avança vers la terre désolé du désespoir laissant transparaître l’once d’un délicat rayon de soleil faisait frémir l’herbe encore humide de la rosée sur sa trajectoire.

« Un éléphant………. Hummmumhummmmm…. », je sursautais et m’enfouis directement derrière quelque feuillage à la suite de ces paroles. Au fond de moi j’étais ravi que le corbeau est répondu mais malheureusement je ne comprenais pas du tout la signification de ces paroles. Je décidais donc de lui poser une nouvelle question.

« Monsieur le corbeau ? Je voudrais juste votre fromage et non un éléphant même si ce met délicat puisse me mettre en appétit. »

« Monsieur le corbeau ? Je voudrais juste votre fromage et non un éléphant même si ce met délicat puisse me mettre en appétit. »

Hein ???

Tom s’arrête d’un coup. Non ce n’était pas possible, comment….Il avait vraiment la poise, plus que cela. Maintenant les feuilles lui demande un fromage. Il saute alors dans un arbre. Il monte très haut dans les cimes et se demande ce qui lui arrive. Non, lui juste y chanté, il ne voulait pas donné son éléphant imaginaire pour met à qui que ce soit. Tom s’assoit sur une branche et en quelques secondes décide de quel attitude prendre devant les feuilles parlante. Il descende un peu et parle normalement.

Mesdames, je ne peut vous donnez du formage ; car trop riche en lipide vos feuilles ne le digérerait pas. Essaye simplement de prendre un peu le soleil, cela vous mettrent autant en forme.

Tom se demande si c’est vraiment réelle ce qu’il lui arrive. Il se dit qu’il était peut être en train de déraille, peut être qu’il n’avait pas assez bu ou alors trop. Peut être pas assez de sport, pas assez de réfection. Il sait qu’il était mal certains temps mais il n’avait jamais entendu des voix. Il avait apprit que la nature parlée grâce au cours de magie mais bon.

« Mesdames, je ne peut vous donnez du formage ; car trop riche en lipide vos feuilles ne le digérerait pas. Essayez simplement de prendre un peu le soleil, cela vous mettra d ‘autant plus en forme. », J’étais vraiment sous le choc, un choc psychologique tellement important, incroyable, impossible que je décidais de continuer à parler à maître corbeaux.

« Je suis désolé de vous avoir importuné de la sorte mais je cherche juste quelque chose à me mettre sous la dent. Vous savez lorsque j’étais petit enfant, ma mère me donnait du lait de fraise à boire avec des cookies en forme de lauriers, donc j’espère que vous comprendrez mon empressement d’avoir en mes mains le cadeau de l’espoir et de la bonté. »

Je décidais de m’asseoir et je pris comme dossier les feuillages qui bougèrent assez brutalement suite à la position que je venais de prendre. * Rho, ils sont vraiment délicates ces saletés de branches ! *.
Malheureusement, mon poids étant trop important, les racines cédèrent laissant place à une vision d’horreur. Un machin… un machin dans un arbre en haut juste au dessus de moi, mais ce machin étant à contre jour je ne pouvais voir guère son visage machiniste. Je décidais donc de prendre mon coup à mes jambes et de courir à travers tout le pays jusqu’à sortir des bois.

« Je suis désolé de vous avoir importuné de la sorte mais je cherche juste quelque chose à me mettre sous la dent. Vous savez lorsque j’étais petit enfant, ma mère me donnait du lait de fraise à boire avec des cookies en forme de lauriers, donc j’espère que vous comprendrez mon empressement d’avoir en mes mains le cadeau de l’espoir et de la bonté. »

Tom se comprit pas tout, mais bon. Des fois les branches avaient leurs avis propre. Il se demanda simplement comment la mère branbranche pouvait donne à ses filles du lait de frais, un mytère de la nature. Tom regarda vers le bas, là ou les branches étaient en train de bouger. Peut être qu’une bête allait sortir pour prouvez à Tom qu’il n’était pas fou. Tom fixa l’endroit et d’un coup, le drame…………..

L’honneur à l’état pur, son frangin se trouve là en dessous de lui. Pourquoi il lui avait demande du fromage, si c’était bien lui qui lui avait demande. Tom se dit qu’il voulait le faire passé pour un idiot. Il avait sûrement prit des photos pour les mettre sur le journal d’Ygg. Tom avait assez d’ennuis avec le reste. Tom vit alors Ito qui détale comme un lapin. Il sauta de l’arbre, mais au lieu d’attaquer Ito il l’attrapa. Ito n’avait pas de mauvais intension, il n’en avait jamais eut. C’était pas aujourd’hui que cela allait commencé. Tom se trouve bête que penser cela de son frère. Il le regarde alors dans les yeux et reprend son air normal et sérieux.

Tu vas bien ? Tu es sûr ? C’est moi Ototo Thomas Yama.

« Tu vas bien ? Tu es sûr ? C’est moi Ototo Thomas Yama. », j’étais assez surpris de voir Thomas en ces lieux et je me demandais bien comment et pourquoi… encore une fois… il avait pu tomber sur lui alors qu’il venait se promener dans les bois en plein dimanche après midi. Je me leva et me passa les mains sur les habits pour essayer d’enlever le plus possible les tas de poussières et de parasites qui s’y étaient accumulés.

« Je suis désolé, je répétais un poème de Jean de la Fontaine, je ne sais pas si tu connais son histoire de corbeaux avec son fromage, je l’avais tout juste lu ce matin et je me disais que sa serait assez amusant que j’aille le répéter dans la forêt… Enfin bon assez tâté de mes exploits matinaux, toi qu’est ce que tu fais ici si ne puis être indiscret ? », je posa mon bras sur l’épaule de Thomas et lui fit signe d’avancer dans la direction opposé dans laquelle je venais de courir. Pas mal de choses me trottaient quand même dans la tête, je venais de voir Thomas, et à chaque voit que je suis avec lui, une chose… enfin un truc machinal m’arrive, un machin bidule chouette tout pas beau qui laisse plein de boutons dans la tête…

« Je suis désolé, je répétais un poème de Jean de la Fontaine, je ne sais pas si tu connais son histoire de corbeaux avec son fromage, je l’avais tout juste lu ce matin et je me disais que sa serait assez amusant que j’aille le répéter dans la forêt… Enfin bon assez tâté de mes exploits matinaux, toi qu’est ce que tu fais ici si ne puis être indiscret ? »

Un poème ? Et si tu deviens Poème alors je n'ai plus aucune chance avec les filles. Quoi que j'ai trouvé la perle rare ^^

Tom lui sourit et alors marche avec lui, il était si heureuse de retrouve enfin Ito. Il ne voulait pas le gêné avec ses question : mais Frangin où étais-tu ? Pourquoi tu avais disparut tout ce temps ? Tom savait qu'il devait avoir une bonne raison. Il lui pose alors la main sur l'épaule et le bouscule un peu.

Espèce de vautour, tu veux toujours tous savoir hein Dit-Tom en rigolent.
Je me balade comme d'hab' Mais si tu veux on peut faire un bout de chemin ensemble, si tu n'a rien d'autre à faire qu'apprendre ton poème

Tom avait gardé un visage neutre. Ses cheveux roses brillés au soleil, qui passé entre les branches des sapins. L'air était frai et Tom adore ça. Ito le savait très bien, il savait aussi que Tom ne dirait jamais vraiment pourquoi il était venu ici.

« Un poème ? Et si tu deviens Poème alors je n'ai plus aucune chance avec les filles. Quoi que j'ai trouvé la perle rare », j’étais plutôt surpris par cette expression de perle rare, ça ne ressemblait pas vraiment à Thomas d’avoir trouvé quelqu’un mais bon s’en était mieux ainsi, s’il était heureux je pouvais l’être doublement.

« mais Frangin où étais-tu ? Pourquoi tu avais disparut tout ce temps ? » * ha ! je vois qu’il se pose des questions à mon sujet… *.

« Espèce de vautour, tu veux toujours tous savoir hein Dit-Tom en rigolent.
Je me balade comme d'hab' Mais si tu veux on peut faire un bout de chemin ensemble, si tu n'a rien d'autre à faire qu'apprendre ton poème », je le regardais et sourit assez niaisement pour lui faire comprendre que rien ne pouvait m’empêcher de venir avec lui où que se soit.

« Non j’ai rien de prévu au menu mais je veux bien entamer l’entrée avec toi. Sinon je peux t’expliquer pourquoi je n’étais pas là depuis pas mal de temps, je savais que tu pensais à ça .
Donc je pourrais commencer par le commencement se qui serait plus ou moins logique. Ma mère avait besoin de moi pour reconstruire notre grange et je suis donc parti chez moi pour l’y aider, malheureusement je me dois d’y retourner assez souvent pour m’occuper d’elle qui est souffrante et des bêtes dont elle a du mal à s’occuper. Enfin voilà tout, je fais mon devoir de fils, mais je suis vraiment content d’être de retour et de pouvoir à nouveau te parler. » Je m’arrêta quelque instants et le regarda cette fois ci dans les yeux avec un air assez dubitatif.

« Mais toi… quand tu me disais avoir trouvé la perle rare ? de quoi parlais tu ? »

Spoiler:

Tom le regarda alors d’un air ahuri. Ito fils, il n’y avait jamais pensé. C’est vrai que Ito pose beaucoup de question mais Tom peu. Cela n’était jamais venu à l’idée de demande des choses sur Ito et sa famille. Il habité une ferme alors, si il devait reparaît une grange. D’après son discourt il n’avait pas de père, c’est vrai qu’il l’avait laissait entendre. Tom sourit et comprendre qu’on puise respecte sa mère et vouloir sa vie. Enfin, il ne peut pas le comprendre mais bon. Tom se sent plus que content d’être là enfin avec Ito. Un flash lui traverse alors l’esprit, comment c’était chez Ito. Tom n’avait jamais connut de maison à lui. Il sait que Ito est rentre chez lui pendant les vacances d’été il avait du revoir sa famille, sa mère et d’autre. Tom l’envie un peu sur le coup. Enfin passons…

« Mais toi… quand tu me disais avoir trouvé la perle rare ? de quoi parlais tu ? »

La perle rare, ma jumelle…C’est pas important. Enfin si pour moi et elle, enfin je crois. Tu me connais. Bon, en gros moi et Dawn on est ensemble. Depuis quelques temps. C’est un peu le coup de fourbe comme toi et Lara. Dit il en rougissent.

« La perle rare, ma jumelle…Ce n’est pas important. Enfin si pour moi et elle, enfin je crois. Tu me connais. Bon, en gros moi et Dawn on est ensemble. Depuis quelques temps. C’est un peu le coup de fourbe comme toi et Lara. ». Il commençait à sourire et ça me faisait vraiment bizarre de le voir ainsi, lui qui habituellement si renfermé ne laissait rien transparaître qu’au travers de ces actes. Je le pris comme tel, je me disais que s’en était ainsi et que je me devais seulement de cette réponse, après les détails me les donneraient-ils à la suite de nos aventures ou alors pas du tout.

* Après un bref sourire rancunier comme si je savais ce qu’il ressentait, je le pris par la main et commença à trottiner à travers le bois en essayant de lui nommer tous les arbres sur le chemin. *; * Rectification : Après un bref sourire rancunier comme si je savais ce qu’il ressentait, je lui montrais du doigt une direction et l’on partit en se regardant l’un et l’autre comme si cela faisait des siècles que l’on ne s’était pas vu *. « Je suis vraiment content de te retrouver… ». Sur ces belles paroles nous tombâmes sur une grotte aux confins de la forêt, elle était comme sculptée dans la falaise, l’entrée était tel le seuil d’un palais somptueux que l’on aurait laissé aux abandons depuis plusieurs générations. D’un regard stupéfait en direction de Thomas je m’approchais du hall lorsqu’un bruit sourd retentit de l’intérieur.

« Brhouuuuuu…. », mon ventre se serrait, mon cœur palpitait à en rompre toutes les artères, je continuais tout doucement dans le hall accompagné de Thomas mais je n’osais que trop quoi dire dans cette situation à part un « Thomas qu’est ce que l’on fait ? » un peu trivial.

Ito avait l’air plus indifférent que content. Tom se demande alors si il a bien fait de lui dire. Peut être que Tom doit reste comme d’habitude, toujours mystérieux, sans paroles sur lui. Il n’a pas vraiment le temps de réfléchire car Ito lui dit alors

"Je suis vraiment content de te retrouver… ."

Moi aussi Frangin, moi aussi. Même si….

Ito lui prend la main et l’entraîne alors dans la forêt. Peut être que Tom prend tout mal, il faut qu’il se lâche un peu, qu’il prenait du recul sur les choses. Tom sourit et sent l’air qui frappe leurs visages, il voit les arbres qui défilent, les rayons du soleil dans les yeux il ne sait pas vraiment ou il va. Ito à l’air de s’amusé alors lui aussi, il se met à rire, à rire. Il était heureux, avec son frère. Ils s’étaient retrouvés. Des fois, Tom avait des idées bizarres.
Mais alors arrive une chose étrange, comme toujours avec Tom. Ils arrivent devant une grotte. Si belle, dans la pierre cela devait faire des années qu’elle était là. Seul à régner sur ce bout de terre. Tom perd son regard sur l’entré. Ito l’entraîne doucement jusqu'à ce qu’un bruit en sort ainsi qu’une odeur nauséabonde et un léger vent. Tout disait qu’il ne fallait pas franchir le seuil. Mais bon….

« Thomas qu’est ce que l’on fait ? »

On fonce !!!!

Tom avait toujours la main d’Ito. Il se baisse et prend un bâton, puis il court dans le noir de la grotte. Ce n'est pas vraiment très intelligent car il n’avait rien pour faire de la lumière, rien pour se défendre si jamais il en était question. Tom était toujours es gens qui arrivèrent à se sortir de toutes situations sans grand chose. Ils arrivèrent alors dans un endroit plus qu’obscur. Tom s’ arrête net.

Ito ? Comment on fait de la lumière ?

« On fonce !!!! » * Hoo non … *. Et voila de nouveau le Thomas que je connaissais en action, il me prit par la main et on se mit tout deux à courir comme des flèches à travers le grand hall qui commençais de plus en plus à s’assombrir.

D’un coup mon frérot s’arrêta et me posa une question des plus improbables. « Ito ? Comment on fait de la lumière ? ». J’étais sous le choc, un choc à la fois psychologique pour la raison qu’habituellement Thomas nous aurait sortis de n’importe qu’elle situation, et à la fois physiologique car j’avais tellement mal au ventre à cause de ma peur que je commençais à suer comme si je venais de courir trois kilomètres.

« Je… Heuu… un feu ?... Comment dire, pour un feu il faut… un … silex ? et… paf y’a du feu ?... ». J’étais un peu gêné de ma phrase quelque peu incongrue. Je lâcha la main de Thomas, me redressa et repris mon souffle tel un taureau près à foncer droit au but.

* Je dois me ressaisir, ressaisis toi ! *. Je saisis le bâton de mon camarade et pris le devant, je souleva mon bras droit et gratta d’un coup sec le bout de bois contre le mur jusqu’à ce que celui-ci prenne feu. J’étais maintenant au devant de l’action bien déterminé à découvrir ce qu’il venait de se passer et où nous étions alors que l’entrée se faisait déjà bien loin.

« Je crois qu’on peut tirer un trait sur la petite balade mon ami ! ». Je n’étais plus vraiment moi-même, je ne me sentais plus "pisser" comme on dit dans mon jargon et je crois que je devenais peut être fou au fil du temps, au fil de toutes mes conneries et surtout au fil de toutes mes mascarades aux côtés de Thomas.

« Je… Heuu… un feu ?... Comment dire, pour un feu il faut… un … silex ? et… paf y’a du feu ?... »

A cette réponse, Tom se dit qu'il devait trouver une solution car ils allaient se faire manger par un monstre sans qu'ils le voyant. Tom très vite ce dit qu'il avait son briquer, qu'il pouvait l'allumer le temps de trouver une autre idée meilleur. Mais alors Ito prit son bâton et fit un tit torche de feu.
*Il progresse dans l'imagination contre la gravité ^^*
Tom sourit et quand Ito lui sort la phrase culture
« Je crois qu’on peut tirer un trait sur la petite balade mon ami ! »
Mon cher, vous avez amplement raison. Avançons tout deux vers l'aventure.

Tom alors découvres les murs de la grotte. Aussi froid que du métal, aussi noir et dur que l'acier. Tom regarde le plafond mais celui ci n'apparaisse pas. Les dimensions devient être immense pour qu'on n'en voit pas la fin. Tom pose sa main sur le mur....humide, la grotte allait l'enfoncé dans les profondeurs de la terre. Cool, une nouvelle aventure de Ito et Tom en cavale pour trouve le mystère de la grotte oublié. Tom rit et regarde Ito.

Si il y a quelques choses ici, on va le trouve ! En route

Ils marchent alors quelques mètres, l'air devient glacial, un bruit sourd se fait entendre depuis quelques secondes. Le vent qui résonne dans les tunnels. Tom adore cette ambiance, il a l'impression d'être dans les sous-sol d'Yggdrasil, même plus dans les sous-sol de l'île. Il se sent bien, pas de peur, pas d'angoisse. Tom était une personne qui se sentait bien là ou tout le monde était terrorisé. Tom voit alors les murs qui s’élargisse, sûrement qu’ils arrivent dans une pièce ou alors un embranchement…Qui sait ? Tom s’avance un peu dans l’ombre et regarde Ito avec le lumière.

Vient voir.

"Mon cher, vous avez amplement raison. Avançons tout deux vers l'aventure." Nous reprimes donc le chemin de l'aventure laissé de côté depuis déjà pas mal de temps. A cause de mon absence il était vrai que tout ça me manquait, je pensais sans cesse aux aventures vécu à ces côtés et à toutes les mésaventures qui laisse maintenant à désirer.

"Si il y a quelques choses ici, on va le trouve ! En route". On s'engoufrait maintenant dans les décombes de la grotte, enfin si une grotte pouvait avoir des décombes. C'était comment dire, comme si les parois nous montraient que jadis cet endroit était habité par des personnes assez nobles. Pourquoi nobles ? car il y avait des restants de tapisseries qui devenaient de plus en plus important en fonction de l'avencement dans la grotte. Le bruit qui s'étant éteint depuis le début de l'aventure refis surface et devenait de plus en plus sourd, il s'approchait.

"Vient voir." J'avais quand même l'angoisse qui montait à travers mes membres. Peut être une bête, peut être un monstre, je ne savais pas et au fond de moi je ne voulais pas le savoir. Motivé par l'envie de Thomas mon courage repirs le dessus et nous courrurent à travers la grotte pour nous approcher du bruit.

"Haaaaaaaa...". J'avais aperçu une forme passée à toute vitesse devant moi, j'éclairais de part et d'autre du couloir mais je n'y voyait que le feu de ma torche. Je me retournais vers Thomas et le pris par les épaules. " tu as vu ça ? y'avait quelque chose j'en suis sûr ! sûr et certains ! ".

Je me retournais sur moi-même pendant quelque instants et repris mon souffle sans plus attendre pour continuer mon chemin, j'avais quand même un peu peur de ce que ça pouvait bien être. Peur de ce que je pourrais bien découvrir. Je m'arreta tout un coup devant du vide, enfin non un vide mais plutôt des marches, des marches dont je ne voyais pas la fin. " Thomas, je crois que sa sent le roucis ".

Tom avait avancé avec Ito sans vraiment se poser de question. Il regardait lui aussi les tapiseries, comment des gens avait put vivre ici ? C'était le plus impressionnent. A moins que se soit les Ases encore et toujours eux. Peut être que c'était les 1ere habitants de l'île qui était là, peut être qu'il y avait encore une civilisation en dessous. Comme dans le seigneur des anneaux, tout le peuple de Nains sous terre. Non eux, ils avaient était tué par un Balrog, cela n'exister pas...Tom arrête de reveile. Tom alors fut surprit par les phrases d'Ito

" tu as vu ça ? y'avait quelque chose j'en suis sûr ! sûr et certains ! "

Non, désole. Je regardais justes les murs -_-

Tom alors s'approche un peu d'Ito, et il le bouscule un peu quand celui ci s'arrête brusquement. Tom regard par dessus son épaule et voit alors lui aussi les marches. Tom sourit et saut devant Ito. Il regarde la desente et rit doucement.

Ito, comme dans le film. Comme dans les mines de la Moria !! Vient, je suis sûr qu'on va s'amusé !

Tom alors s'elance dans les marches, au bout de quelques minutes, il entend alors un crie....un crie d'homme....ou de bête....Etrange, peut être la chose qu'avait vu Ito. Tom sourit et fait un clin d'oeil à Ito. Il continu en tirant un peu plus Ito qui commence à...Ils sont à la fin, Tom pose le pied sur la terre ferme, mais alors une main, ou une patte l'attrape et le tire dans le noir. Tom laisse sortir un petit cri puis plus rien.

« Non, désole. Je regardais justes les murs », je sentais un peu d’ironie dans sa voix, genre il se moquait de moi car j’essayais d’être pour une fois un peu sérieux. Il me bouscula pour voir ce qui m’avait arrêté lorsqu’il sauta devant moi et ria avec un air sarcastique en regardant la descente * j’aurais peut être pas du être aussi sérieux car là il me fait vraiment peur *.

« Ito, on dirait comme dans un film. Comme dans les mines de la Moria !! Vient, je suis sûr qu'on va s'amusé ! », Il prit les devant et commença descendre les marches avec un engouement qui m’impressionnait. Je ne savais que trop quoi dire et je l’avais donc suivit dans son excursion aux confins de l’univers de la « Moria ».

« Grrrrrrr… HAAAAAAAaaaaa…. » Je me retournais dans tout les sens et j’allais presque trébuché lorsque Thomas se retourna vers en me souriant et me faisant un clin d’œil. Je pense quand même qu’il avait dû entendre ce cri monstrueux mais il voulait continuer, voir ce qu’il y avait en bas, voir si notre imagination n’avait pas tord.

Thomas s’arrêta enfin, il avait le pied à terre car ces pas ne résonnaient plus entre les murs de l’escalier. Il faisait noir et rien, seul le silence avait sa place ici. D’un coup j’entendis un petit cri et le silence revins aussi rapidement qu’il était parti. Je me retourna vers la position de Thomas et voulu lui décocher quelque mots lorsque je m’aperçu qu’il avait disparu. Je commençai à courir dans un couloir en face de moi tout en m’enfonçant dans l’obscurité. « Thomas ! Thomas où es-tu ! » Une lueur parvenait à mes yeux et je couru de plus belle tout en continuant de crier le nom de Thomas.



Lorsque j’ouvris les yeux je me trouvais dans un lit, la couverture était tellement douce que je n’aurais voulu plus jamais la lâcher mais je me souvins des paroles que j’avais entendu dans mon rêve. Je me rappel d’un langage inconnue mais pourtant… pourtant j’en avais compris le sens, on me parlait de Thomas et d’une rencontre prochaine. Je me levai et des habits m’attendaient sur le rebord d’une fenêtre d’où la vue était magnifique, je m’appuya sur les rebords et regarda vers le bas. On était en hauteur, la structure était telle que je croyais encore dans un rêve, mais bizarrement, il n’y avait personne à l’horizon, je décidai de m’habiller avec ces habits neufs et continuer ma route dans ce lieu étrange.

Thomas avait senti une chose qui lui attrapa la cheville. Il ne savait pas ce que c’était, ni où cela n’entraîne. Mais il se souvient qu’il avait la tête qui avait frappa violemment le sol. Si il n’avait plus rien dit après c’était qu’il avait perdu connaissance quelques instants. Il ouvrit les yeux dans le noir, rien n’apparu à ses yeux. Il sentit seulement une odeur étrange, nauséabonde, terrifiante. Comme du sang sécher sur des lames en fer ou cuivre. Il entendit simplement un clic, clic, clic….Tom essaya de bouger en vain rien à faire, il ne peut même pas bouger le gros doigt de pieds. Il n’avait aucun moyen de voir, ni de se défendre. La peur lui prit le ventre, il avait beau toujours avoir des solutions là il était mal, très mal…Il n’avait pas envie de hurler, car c’était pas la bonne façons de s’en sortir. Il essaya pourtant de s’adapter à l’obscurité mais rien à faire. Il sentait l’humidité plus que jamais. Il devait être plus bas encore que tout à l’heure. Prés d’un lac, cette idée n’était pas si bête. Il espère de tout cœur entendre la voix d’Ito. Il a le cœur qui bat plus fort que jamais. Si c’était l’heure de la mort Tom voulait juste dire quelques mots à son cœur. Il prononça quelques paroles juste pour lui. Il demanda à son cœur si il est heureux d’avoir vécu. Celui lui répondit
Dawn est la meilleure chose qu’ils nous soit arrivaient. Nous avons vécu notre temps.
Tom comprit alors dans cette phrase que c’était son destin de mourir ici. Il revoit les meilleurs moments de sa vie. Il sentit alors une légère vibration sur le sol. Des pas, il en était sûr. Il avait beau être aveugle et muet, il n’avait pas perdu ses capacités d’analyse. Il sent l’odeur qui se rapprocher. Cela lui donna envie de vomir, il ravala et dégluti lentement en faisant un grimace. Peut importe rien ne se voit ici. Il sentit qu’on l’attrape par les mains. En plus d’être immobilisé il était attaché. La chose devant lui pense sûrement qu’il était encore inconscience…une chance pour lui !!! Il (le monstre de la Moria mdr ^^) l’accrocha par les mains, ses pieds ne touchaient plus la sol. Alors il entendit.

Petit homme ne doit pas venir ici, Hahaha. Si non il fini en repas pour moi !!

Tom essaya de voir quelques choses, mais rien à faire. Il essayait de respirer doucement de se dire qu’il était dans un rêve. Mais son cœur lui disait, lui hurlé qu’ils étaient cuit. Pour le moment ils étaient encore un peu vivants.

Tu veux que je te coupe quoi en 1ere ?

La chose lui touche alors les jambes avaient un objet métallique et froid. On sent qu’il s’impatiente, il grogne et alors tranche un bout de Tom (cela commence) au niveau de la cuisse. Tom ne peut pas retenir le hurlement de douleur. La chose rit, cela ressemble de plus en plus à un homme. Tom sentit la peau qui vient de partir, la chair à vif sous l’air sale de l’endroit. Il essaya de bouger mais la douleur est telle qu’il ne peut s’empêché de vomir tout ce qu’il avait dans le ventre.

Petit homme bien résistant. Tu es réveille maintenant.

Salo, Qu’est que je vais ai fait ? Qui est-tu ? Meyer. G, Le Gang !!!!!

Tu devrais tenir ta langue petit homme devant les gens que tu ne connais pas.

Pff *Mort pour mort* Tu sais que cela sent le moisi, tu t’ais pas lavé depuis un sacré bail !!

Comment ose tu ? Tu veux que je te coupe la langue en 1ere Dit il en lui touche le visage avec la lame inconnu.

Tu devrais plus tôt essayer de me sucer avant !! Connard !!

Hum, un petit rigole. Tu es un petit rigolo. Tu sais ce qu’on fait au petit rigolo. (Référence XXX)

Hey tu ne veux pas allumer la lumière que je me marre devant ta face d’abrutie. Petit con ^^

Tom espère de toutes ses forces qu’un miracle arrivera. La seul solution qu’il a….c’est…..il se concentre. L’homme était à bout, il allait frapper. C’était voulut. L’homme alors lui enfourna la lame dans l’estomac. Tom serra les dents et alors la douleur qu’il ressenti se transmis aussi à l’homme en face de lui. Tom avait la tête qui tourne, il avait mal bien sûr mais l’important c’était de son agresseur souffre aussi. Ce qui fut le cas car il l’entendit crier…

Je portais une tunique argentée, elle était tellement éblouissante quand je passais devant les rayons du soleil que je me devais de plisser les yeux pour voir mon chemin. Des motifs que je ne connaissais guères étaient incrustés dans l’enveloppe de mon pantalon noir. Il était profond voir sanglant mais il y avait tout de même une beauté que je n’arriverais à expliquer en sortant. Je continuais donc ma route dans cette fastidieuse cité toujours aussi vide que lorsque j’étais parti de ma chambre. Les maisonnées étaient construites dans des arbres immenses et la verdures poussées sur le bois donnaient l’impression même que tout était dans un même décor, que tout était là depuis déjà des lustres et que ces âtres avaient leur places dans la nature.

J’atteignis une grande porte avec toujours ces signes bizarres, c’était comme les paroles que j’avais entendu dans ma tête auparavant, ces paroles me dictant quelque chose mais qui étaient parlées dans une langue étrangère. * Je me demande si cette écriture à avoir quelque chose avec tout ça *. Je décidais de pousser la porte avec peu d’enthousiasme pour réussir à l’ouvrir mais celle-ci réagi dès que j’eu la main posée dessus. Quand je rentrais je fis mon apparition à travers une grande salle disposée de la manière d’un hall. Il y avait des tribunes de toute parts rempli de personnages élégants et nobles. Devant moi deux trônes sur lesquels étaient assis un homme et une femme qui devaient être vraisemblablement les maîtres de ces lieux.

« Avance mon garçon ». La voix de l’étrange personnage avait retentit avec tellement d’intensité que j’eu l’impression que l’on m’avait crié dans les oreilles. Je regardai à gauche et à droite tout en avançant et j’entendais des murmures s’élever à travers la foule dans cette fameuse langue que je ne connaissais pas.

« Nous connaissons ta venue parmi-nous ». J’avais tourné la tête vers l’homme et il me regardait avec une expression tel que je ne pouvais détourner le regard de ces yeux.

« Ton compagnon se trouve dans les montagnes aux abords de notre citées, vous n’êtes pas les premiers à avoir découvert le passage, je te fournirais en équipement et en nourriture ». Je n’eu à peine le temps de répondre que cette fois la femme parla.

« Jeune garçon, l’un d’entre nous t’accompagneras dans ton excursion aussi longue soit-elle. Reste ici et prépare toi aussi longtemps que tu veux mais ne perd pas de temps, ton compagnon à besoin d’aide ». Les deux personnes tendirent leurs mains vers la sortis je n’eu que d’autre choix que de sortir de la salle.

Tom essayait de bouger mais rien à faire. Il sentit le sang qui lui couler sur son ventre, l’odeur remontait et lui donnait de plus en plus mal à la tête. Son cœur, son Âme hurlaient qu’il fallait partir. Il a peut être une chance, si il arrivait à bouger. Il essaya de nouveau sans effet. L’homme avait l’air de se remettre doucement. Tom sent alors que son sang glissait sur sa plaie qu’il avait à la jambe. Cela lui rajout une couche de douleur à lui mais aussi à l’homme à terre. Tom se demande si l’homme à mal, lui peut alors ressentir la vie de celui là. Si il se lie à lui, il pourra alors bouger….Enfin, il faut espère. Tom alors se concentre, aussi fort qu’il peut. Il n’arrive à rien. Son cœur lui souffle qu’il faillait qu’il demande de l’aide à la terre. Alors Tom se souvient d’un secret ; le langage Universelle, le Langage du monde, des signes. Il l’avait apprit, c’était pour cela qu’il se sortait souvent de situation étrange. Mais il l’avait bien oublié depuis qu’il était arrivé à Yggdrasil. Mais là il fallait qu’il s’en re-serve. Tom alors entame une conversation avec la Terre.

Bonjour La Terre.

Bonjour Thomas, Que veux-tu ? Cela fait si longtemps. Il me semble que tu es en mauvaise posture ?

J’ai besoin d’aide, besoin de ressentir les mouvements de l’homme. Comme cela je pourrais alors bouger.

Thomas….Tu sais pourtant que je suis toute puissante, mais je ne peux faire ressentir à un homme la vie d’un autre homme. Thomas tu sais que les Âmes sont tous identiques, qu’elles finissent toutes dans le cœur de tous êtres et toutes choses. L’Âme du monde est partout présente, en toi aussi. Tu es le seul qui puisse chercher dans ton âme celle de cette homme.

Mais…..

Je ne peux t’aider plus.

Tom se retrouva alors seul, devant l’Âme du monde à conquérir. Il savait comment le faire, il l’avait déjà fait, mais jamais pour lui-même. Il ferma les yeux et senti alors toutes les choses qui était autour de lui. Il sentait la moindre petite pierre du sol. Toutes avaient leurs légendes personnelles, le rêve qu’elle devait accomplir pour devenir heureuse et trouver le bonheur. Tom essaye de trier entre toutes celle de l’homme. Il fallait que cela se fasse vite car le monstre était de nouveau sur ces jambes. Tom trouva la bonne âme, ils entrèrent connexion. Alors une déferlante énergie l’envahie. Il pouvait bouger. D’un coup, il se balança en avant et envoya l’homme au tapis. Il eut le temps de s’accrocher aux chaînes qui le retient. Il comprit qu’il n’était retenu que par une barre, il fit le cochon pendu et se délia facilement en jouent avec les chaînes. Il tomba à terre, son ventre lui faisait mal mais il était presque libre. L’homme hurla mais Tom sauta par-dessus comme il pouvait (car il à une blessure à la jambe et un trou dans le ventre, ainsi que le coup qu’il à donné à l’homme lui retourne aussi) à la réception il se casse la jambe. Toujours plus vite pour sortir de cette enfer, il se relève et s’appuis sur le mur et essaye d’aller le plus vite possible. Il trébuche alors sur une pierre, le terrain était telle que Tom roula et tomba (Attention……..Roulement de tambour………..)
Dans le lac un peu plus bas. Il essaya de se débattre pour reseté en surface mais rien à faire il ne pouvait plus bougé sa jambe cassé, l’autre lui faisait terriblement mal dans l’eau et son ventre avait juste pour effet de perdre du sang ce qu’il le rendait abrutie quelques minutes. Il perdit alors tous ses forces et coula au fond. Il avait les yeux ouvert il hurlé mais personne ne l’entendait.

J’étais toujours aussi ébloui par cette vue qui m’était offerte, qui aurait cru un jour qu’un tel endroit puisse exister. Tout en avançant j’entendis des pas s’approcher de mon emplacement, j’étais assis les pieds dans le vide sur le rebord d’une palissade aux abords même de la porte que j’avais emprunté auparavant. Le bois de la poterne grinça et laissa place à cette multitude de personnages aussi parfaits les uns que les autres, l’on aurait dit une marais de beauté autant hommes que femmes. L’homme qui m’avait parlé lors de l’audience s’avança vers moi et m’adressa la parole une nouvelle fois.

« Si tu veux te joindre à nous pour le dîner nous en serions honorés ». Il me regarda et me tendit la main pour m’aider à me relever. Une fois cela fais je baissai la tête par peur de sa beauté. Sa peau était tellement douce et ces mains tellement magnifiques, pourtant je n’avais de tendances quelconques mais ces personnes étaient parfaites en tout points.

« Je… je serais ravi de me joindre à vous… et … j’aurais tout de même quelque questions à vous poser… ». Je n’avais pas été capable d’enchaîner ma phrase correctement, à vrai dire j’étais vraiment intimidé par ces personnes et par ce monde qui m’était inconnue.

« Ne vous inquiétez pas, nous aurons tout le temps de parler lors du dîner. Il se passera dans ma demeure, elle se trouve tout en haut de l’arbre . Je vous y attendrais au couché du soleil, passez une bonne journée aux côtés de mes confrères. ». Il partit en direction de ce fameux arbre dont je n’avais pas compris le nom et il disparut accompagné de cette femme qui m’avait aussi parlée lors de l’audience.

Je décidais donc de descendre et de trouver une auberge pour pouvoir me réhydrater, car je n’avais guère bu depuis pas mal de temps. Je croisais de plus en plus de personnes alors que quelque temps auparavant tout était désert, ça montrait en quelque sorte que ce peuple était très solidaire. Lorsque je passai à côtés d’une forge je décidais d’y faire une petite halte pour voir comment ces personnes s’y prenaient. Il y avait deux hommes, l’un tenait une lame rouge d’agressivité et emplit de braises, et l’autre frappait avec délicatesse pour la forger. J’étais assez ébahi dans le sens ou ce bout de métal prenait une forme somptueuse alors que les coups qui lui étaient assénés auraient dû lui en donner une assez vilaine de vue.

« Rhum… désolé de vous déranger mais j’aurais quelque petites questions à vous poser… ». Les deux personnes s’arrêtèrent de travailler et se tournèrent vers moi accompagnés tout deux d’un sourire qui m’avait mis à l’aise en leur compagnie.

« Oui, pose nous les questions que tu veux mon cher Ito. ». Je n’en revenais pas, ils connaissaient mon nom, alors que je ne savais même pas de quel peuple il s’agissait. Enfin je décidais de laisser cette question de côté car maintenant plus rien ne m’étonnait, je crois que j’avais déjà été assez surpris par ces personnages que je ne pouvais l’être après la réponse qu’ils me donneraient.

« Je… enfin je ne connais même pas le nom de votre peuple, ni l’endroit où nous nous trouvons, et encore moins ce que je fais ici ni comment mon camarade et moi avons pu nous perdre dans ces escaliers… enfin… ». Le personnage qui tenait la lame la lâcha, s’approcha de moi en posant une main sur mon épaule et essuyant mes larmes coulant à flot de mes yeux.

« Je vais répondre à tes questions comme ça tu pourras enfin comprendre ce qui te tracasse depuis ton arrivée ». Il m’emmena jusqu’à une chaise et me proposa de m’asseoir pour que je puisse l’écouter en toute tranquillité.
« Nous sommes les Elfes d’Albaines, un peuple immortel qui se trouve en ces terres de Morgroth depuis l’ancien âge. Je ne t’en dirais pas plus car tu n’as pas besoin d’avoir autant d’informations inutiles dans ton esprit. Le fait que toi et ton compagnon vous êtes perdu dans les escaliers menant à notre monde n’est que pur hasard. Il a été enlevé par un Morg, une créature ou plutôt un homme vivant dans les montagnes de ces terres. Tu devras le retrouver car il a besoin d’aide, je ne sais combien de temps un Morg garde en captivité un jeune humain sans le torturer ni en faire sa pâture. ». Il souleva ma tête que j’avais baissée lorsqu’il m’avait avoué que Thomas avait été enlevé, et il continua de parler avec une voix encore plus voluptueuse qu’auparavant.

« Cette épée nous la forgeons pour toi, elle te servira lors de te quête. Sa légèreté ne pourra te faire défauts et tu auras l’impression de magner un petit morceau de bois. Enfin si tu veux que l’un de nous t’accompagnes va voir notre maître Aldron. ». Cette fois il me leva de la chaise et m’accompagna à la sortie de la forge.

« Aller va, le soleil se couche, toute tes fournitures seront prêtes demain matin lorsque tu partiras. ». Il me fit un signe de la main et les deux personnes reprirent le travail sur mon épée.

Je grimpai jusqu’à l’arbre ou Aldron avait disparu mais je ne voyais rien, seulement une barrière de verre. Je posai la main dessus et elle passa à travers accompagné de tout mon corps. Je me trouvai maintenant dans un hall ou de là où je me trouvais je pouvais apercevoir une longue table accompagnée d’un flot incroyable de nourritures. Je marchais doucement pour déjà ne pas trop me faire entendre mais aussi pour regarder les tapisseries posées sur les murs.

« Approche mon cher ami, vient te joindre à nous. ». Je commençais à en avoir marre qu’ils me prennent à chaque instants. J’étais aussi voyant que ça ? Enfin personnellement je ne les voyais pas. Enfin j’avançais avec des pas amples pour me dépêcher d’arriver et ne pas faire attendre le début du banquet.

Arrivé dans la grande salle un elfe m’indiqua une chaise dont je pris aussitôt possession. Je ne savais pas quoi regarder en premier sur la table car il y avait tellement de chose pour si peu de monde. Des choses que je ne connaissais pas mais qui avaient l’air très goûteuses.

« Nous ne nous attarderons pas ce soir à bavarder de tout et de rien mon ami, je voudrais seulement te faire don de cette carte qui te permettra de retrouver ton ami dans les montagnes. Demain matin à l’aube un cheval sera attelé et tu pourras partir avec la nourriture ainsi que le baume d’Alher qui pourra soigner ton camarade si il a été blessé lors de sa mauvaise rencontre. Enfin si tu veux que quelqu’un t’accompagne demande le moi et je te ferais parvenir un archer des plus agiles à tes côtés. ». Il me regarda et me fit signe de me servir.

Tout en me servant je lui répondis assez délicatement. « Je vous remercie de votre générosité et de votre bonté mais je voudrais trop en abusé en demandant à l’un d’entre vous de venir à mes côtés. C’est moi qui me suis mis dans cette situation et moi seul pourrai en sortir. Je partirais demain avec toutes les fournitures que vous m’avez fournies et je ne reviendrais pas. »

« Je suis ravi de l’entendre mon cher ami mais nous ne sommes pas ce genre de personne renvoyant directement quelqu’un sans même le connaître. Pour garder ce monde secret vous devrez repasser avec votre camarade avant de repartir dans votre monde. Mais prenez votre temps, si vous voulez visitez ces terres nous vous y autorisons, mais n’abusez pas de notre confiance, c’est tout ce que je vous dirais. »
Le repas dura une bonne heure et lorsque j’eu finis de manger le dessert je me leva de ma chaise et m’inclina devant Aldron. « Je vous remercie pour ce repas, je vais me coucher. Nous nous reverrons bientôt, je vous le promets. ». Il me fit signe de la main et partit de cette demeure.

La nuit avait été perturbé, non par des bruits dans la cité mais par des cauchemars que j’avais fais. J’imaginais la façon dont Thomas pouvait se trouver, j’avais peur pour lui et j’avais peur qu’il soit mort. Je m’habillais en toute hâte et descendis jusqu’à la fontaine de la cité qui indiquait sa sortie. Il y avait seulement un cheval d’un blanc magnifique et des fournitures posés sur le rebord de la fontaine. Quand je m’approcha, je pu apercevoir une ceinture dans laquelle était encré mon épée et son foureau. Je l’attacha à ma taille et enfila une cotte de mailles qui faisait aussi parti de mon équipement. La nourriture et le baume avaient déjà été rangés dans les sacoches posées sur le cheval. Malgré mon appréhension j’arrivai à monter le cheval très facilement et il écouta tout ce que je lui disais. * Je crois que ce peuple m’impressionnera toujours, tout est parfait en ce monde *. Sur la route je sortis la carte qu’Aldron m’avait donné et aperçu des tracés s’effectuer en même temps que je bougeais. Il y avait une croix où se trouvait Thomas et je pris donc cette direction.

Le voyage dura quelques heures pendant lesquelles j’avais pu apercevoir de magnifiques paysages. Le soleil qui se levait derrière les montagnes pleins de neige au loin devant moi, ainsi que la mer laissant passer une brise d’air frais sur mon visage en sueur de peur. Les oiseaux chantaient depuis que j’étais parti de la cité des Elfes et je ne m’en étais pas lassé un seul instant. C’était si magique de voir quelque chose comme ça, si magique de voir ces forets et ces animaux gambadant librement.

J’approchais du point ou Thomas devait se trouver. Je décidais donc d’accrocher les lanières du cheval à un arbre que je puisse continuer à pieds. J’avais pris avec moi le baume mais avais laissé la nourriture avec le cheval. Si je devais combattre je me devais de ne pas trop être encombré. J’avançais à travers des broussailles plus hautes que moi et des fleurs pas très accueillantes. Une odeur nauséabonde commençait à me parvenir et j’avais ma main gauche contre mon nez pour sentir autre chose que cette puanteur. Ma main droite tenait fermement l’épée qui m’avait été donné et j’étais prêt à chaque instant à attaquer tel un lion en furie. Les feuilles devenaient de plus en plus dense et je frappais avec l’épée pour me frayer un passage.

Cette traversée était enfin terminée, j’étais arrivé dans un marécage puant et assez brouillardeux. J’avançais en me cramponnant à la roche de la montagne mais je ne savais pas trop où aller. Ce que je ne comprenais pas c’est que la carte m’indiquait exactement cette position.

Je n’eu à peine le temps de penser plus longtemps que des tas de cailloux parvenaient jusqu’à moi et une nuée de poussière m’emmena jusqu’au confins des marécages. J’avais mal à mon épaule, quelque chose m’avait frappé fortement mais je ne savais pas quoi. Je me trouvais sous l’eau et j’ouvris les yeux pour pouvoir revenir à la surface lorsque je vis le tas de poussière continuer sa route vers les profondeurs de cette eau putride. Je continuai de remonter à la surface mais un petit bruit m’interrompit. L’on aurait dit quelqu’un criant sous l’eau, quelqu’un qui demandait de l’aide. J’essayais d’apercevoir le tas de poussière mais je ne voyais plus rien. Je repris mon souffle à la surface et repartit à la quête de ce bruit étrange. Je plongea le plus profondément possible lorsque j’aperçu une main tendu à travers un sillon de crasse. Je la saisis et sans même voir à qui elle appartenait je remontais à la surface. J’avais un peu de mal à nager avec cette épaule qui me faisait souffrir de douleur mais mon moral pris le dessus, je me devais de sauver Thomas.

A bout de forces j’arrivai à la surface de l’eau et je sortis la personne pour la poser ensuite sur la terre ferme. Elle était recouverte d’algues et de poussières. Je poussais délicatement les crasses qui se trouvaient sur le visage de la personne lorsque je reconnue Thomas. Je fus pris d’un serrement au cœur et je ne savais pas quoi faire. Je souffla un gros coup et pris le pou de mon camarade. Il était encore vivant mais saignait de la jambe et du ventre. Je tapotai la poche de mon pantalon en sortir mon baume mais il n’était pas là. Je me leva avec un air désemparé et je réfléchi de ce que j’avais pu en faire. Il avait du glisser lorsque j’étais sous l’eau ou quelque chose dans le genre. Je ne devais pas perdre un seul instant, je déchira la veste à Thomas et lui fit un garrot à la jambe pour arrêter l’écoulement du sang. Je ne pouvais rien faire pour le ventre, je le saisis et le posa sur mes épaules souffrantes. Je me leva et pris la direction qui m’avait permis de venir jusqu’ici.

J’avais vraiment eu du mal à me frayer le chemin à travers ces broussailles et j’avais nombres de fois fais tomber Thomas à terre en ayant trébucher sur un rocher. Arrivé au cheval j’essaya de le faire s’asseoir pour que je puisse faire monter Thomas dessus et au grand damne de mon désespoir il le fit. Je monta dessus et posa mon camarade devant moi. Le cheval se releva et je galopai en direction de la cité des Elfes.

Tom sentait la vie qui le lâche, mais petit à petit il sent l’eau qui glisse sur lui, l’air qui revient. Il avait l’impression qu’on le portait, il ne comprenait pas, mais ne chercher pas à ouvrir les yeux. Tant c’était cette homme qui l’avait retrouvé, si c’était lui Tom était tout simplement mort. Tom avait le souvenir d’Ito, de Dawn et toutes les personnes qu’il avait aimé et qu’il aime encore.
L’homme au fond de la cave reprend ses esprits. Si Tom vivait lui aussi. Il re-ouvrit les yeux et comprend très vite que l’enfant était partir par le lac. Il plonge, ses yeux étaient habitués à la saleté du lac, il vit très vite un homme qui remonté son repas. Cela n’allait pas se passer comme ça. L’homme bête nagea vers lui, il essaya d’attaquer Ito mais il sorti de l’eau juste à temps. L’agresseur alors saut hors du lac. La lumière l’éblouit un peu le temps qu’il s’habitude Ito était près de son cheval. L’homme se met alors à courir, il connaissait les marrées par cœur. Il hurle alors un cri horrible.

Hahahahahahahahaha, tu va payé !!!!!!

Il se met alors à courir presque aussi vite que le cheval. Il n’allait pas laisser partir son repas comme ça. En plus il pouvait en avoir deux pour le prix d’un.
Tom dans son coma entendit simplement le hurlement, il était sûr qu’il allait mourir. Il ne pouvait bouger, il entendit des sabots d’un cheval. Le sifflement de flèches, des paroles elfiques. Tom ne comprenait plus rien.
En fait, Ito était devant la cité des elfes. Les créatures décochent des fléches vers l'homme bête. Les portes s'ouvrent et Ito sur son cheval entre.
....Quelques temps........
Tom se réveilla sur un lit blanc le plafond était incrusté de motif tribal, des écritures tout était rayonnant et rassurant. Tom avait mal à la jambe, mais aussi au ventre. Quand il posa sa main, il senti un bandage. Il se redressa avec beaucoup de mal. Il vit Ito à côte de lui. Il regarde la salle, elle était blanche, les rideaux tombaient et dansaient sous l'effet du vent qui laissait dévoiler un paysage magique. Tom se demande où il était. Il était mort, c'était sûrement ça. Mais alors pourquoi il avait encore mal. Ce n’était pas normal, il voit alors arrivé un homme. Il se recule dans le lit, L'homme avait l'air royal, un visage doux, tendre et serein. Le Roi, sûrement, avança une main vers lui comme pour le saluer. Tom se rétracta sous les couvertures avec un petit cri, il avait peur. Quelques choses de son passé avaient refait surface. Il avait maintenant PEUR, terrorisé par les autres. Il était peut être en enfer ou au paradis mais il n'aimait pas cela. Il sent qu'il n'était pas chez lui. Il passa les yeux sur la couverture blanchâtre et regarda l'homme qui n'avait pas bougé. Il tourne la tête vers Ito puis plonge ses yeux bleus dans ceux de l'homme.

Je suis mort ? C’est ça

Thomas, tu connais la morte. Tu sais que c’est la vie qui était en toi maintenant. Ito est fatigué, il va revenir à lui. Fait nous confiance et….

NON !! Pourquoi je vous faisais confiance ? Vous êtes peut être avec cet homme, vous êtes peut être pire. Ce n’est pas parce que vous êtes tout blanc que le noir ne règne pas chez vous. Ne mentez pas !!!!

Thomas se sentait mal, de plus en plus mal. Il arrivait à sentir les émotions des gens mais avec cet homme il ne sentait rien. Il avait peur de l’endroit, il savait qu’il n’était pas à sa place. Le langage Universelle n’était pas d’actualité ici. C’était comme un autre monde, le soleil était trop beau, trop chaud. Les arbres étaient trop verts, trop vieux. Rien n’était réel ici. Il était dans un rêve, un très beau rêve mais sûrement très dangereux.

Je me sentais tellement paisible, j’avais l’impression de flotter dans les airs, comme si plus rien de mauvais ne pouvait m’atteindre, comme si j’étais devenu invincible. Je voyais Thomas appelant à l’aide ainsi qu’un monstre me poursuivre, je ne savais pas ce qu’il m’arrivait, je voyais trouble et j’entendais des paroles divagues n’ayant aucun sens. Je devenais peut être fou après tout ce temps ou je me disais sans cesse que je n’étais pas normal, que quelque chose dans ma tête ne tournait pas rond.

J’ouvris les yeux et j’avais cette vue,…, la même que lorsque je m’étais réveillé la première fois dans ce lit. Le paysage était fabuleux et l’on voyait de là où j’étais une plaine s’étendre à perte de vue. Il y avait des montagnes bombant le sol à quelques endroits et une rivière divisant l’horizon en plusieurs parties. J’étais tellement subjugué par la vision qui s’offrait à mes yeux que j’en eu presque oublié Thomas. Je me leva rapidement et partie en direction de l’appartement d’Aldron pour lui demander comment allait son camarade. Mais bizarrement je ne fus pas surpris de voir Thomas perché tout en haut de l’arbre, il avait les jambes pendouillant dans le vide et regardait le monde nous entourant avec peu d’entrain. Je le rejoignis avec pas mal de difficultés et m’assis à ces côtés, je voulais le serrer dans mes bras mais il n’avait pas réagi à mon arrivée. Il avait l’air dans ces rêves,…, dans ces pensées car lorsque je lui lançai des « coucou Thom ! »il ne réagissait pas non plus.

« Bon, au moins je suis rassuré que tu ailles bien. J’espère que tu t’ais bien remis de tes blessures,…, enfin je ne me fais pas trop de soucis de ce côté car tu es un dur mon ami. Je sais que tu as dû vivre des choses atroces avec ce monstre mais tu es là, tu es revenu et je suis avec toi,…, à tes côtés. Enfin laisse moi juste te dire que je serai à la taverne, j’ai faim et je vais aller manger un bout pour ne pas tomber dans les pommes. ». Je descendis de l’arbre et regarda une nouvelle fois Thomas en lui disant un « A tout à l’heure j’espère », un peu perplexe.

Je descendis donc en direction de l’auberge pour commander un casse croûte. J’avais croisé nombre d’elfes sur mon chemin qui m’avait salué et souri, j’étais tellement heureux qu’ils me reconnaissent. Le bâtiment était magnifique, je rentrais maintenant et m’assis à la première table que j’avais croisée. Je n’eu à peine le temps de chercher mon porte monnaie qu’un elfe se trouvait à côté de moi pour me demander ce que je voulais à dîner.

« Je ne sais pas trop quoi commander, enfin je n’ai pas trop d’argent donc… ».

Il me regarda bizarrement et me répondis « De l’argent ? C’est ce que vous utilisez comme monnaie dans votre monde ? ».
J’avais totalement oublié que je n’étais plus à Yggdrasil, où plutôt que je me trouvais dans une partie d’Yggdrasil qui n’avait pas été découverte par beaucoup de personnes. J’avais un peu rougi et j’inclinai la tête pour ne pas qu’il voit mon teint rougeâtre. « Je suis désolé… oui c’est notre monnaie, nous avons des pièces en cuivres et en argent ainsi que des billets imprimés sur du papier spécial… ».

« Du papier ? Vous avez des idées assez farfelues chez vous. Cela ne nous viendrais jamais à l’esprit de payer avec du papier. Enfin j’image donc que vous n’avez en votre possession aucune pièce d’or. Mais bon, de toute manière le maître Aldron m’a informé que vous pourriez descendre à la taverne ce midi, et il m’a indiqué que je ne devais pas vous faire payer donc soyez en flatté ».

« Je vous remercie beaucoup… ». Mon ventre brouilla, l’elfe me sourit et parla. « Je vais vous préparer la spécialité de la maison ». Il partit de ce pas en direction de la cuisine du restaurant. J’étais vraiment impatient de pouvoir manger ce met qui devait être bien goûteux.

Tom fini sa discutions avec l'homme elfe. Celui ci lui dit qu'il était aussi bien chez lui que Ito. Thomas savait que Ito était pur et simple. Thomas n'était pas comme cela. Il n'avait rien de bon en lui et cela lui faisait mal d'être ici dans un monde si parfait. Il était si triste d'être comme il est. Il aurait voulu resté des années dans se pays mais ne s'en sentait pas la force, ni le courage. Il n'appartenait pas à ce monde. L'homme et lui parlaient encore plusieurs heures. Thomas comprit petit à petit de l'homme savait tout sur lui. Il savait un nombreux de choses extraordinaires. Tom en resta sans voix. Alors Thomas se mit encore plus sur la défensive. Il sauta donc par la fenêtre et courut dans un arbre. Il y resta quelques temps. Ito arriva et lui dis quelques mots.

Spoiler:

Il avait l'air si heureux, si naturel. Pour lui la beauté de ce monde n'était qu'une illusion ou alors qu'un effet naturel de la beauté des elfes. C'était normal, ou alors cela était devenu normal. Tom n'aimait pas ça, il avait connut tant de lieux si horribles. Il sentait encore l'homme, l'odeur et sa torture. Tom ferma les yeux, Ito parti. Il se retrouva seul. La vie était belle car il avait survécu à son agresseur. Mais pourquoi est que ce c'était toujours aussi étrange avec lui ? Pourquoi il avait fallut qu'il parte dans cette grotte ? Tom se dit que la prochaine fois qu'il faut faire quelques choses, il faudra l'inverse pour ne pas être en danger. Tom s'en voulait, en voulait au monde, aux elfes, aux hommes.
Il ne savait plus ou il en était avec le monde extérieur et lui même. C'est un garçon fragile en fait, qui avait besoin d'aide mais ne voulait pas le montrer. Tom descendit de l'arbre car la faim commencée à lui prendre. Il vit la cascade devant ses yeux et se mit alors à pleurer.

………Quelques temps après…………..

Certains elfes l’avaient vu pleurer, il n’en avait plus rien à foutre. Il avait juste assez de respect pour eux pour ne rien dire de méchant. Il avait aussi beaucoup de respect pour Ito et avait senti qu’il était bien ici. Il ferma son visage et enfouit ses sentiments et entra dans l’auberge. Il salue d’un regard froid et vide le parton et s’assit à côte d’Ito.

Tout est ma faute, je suis désolé. La prochaine fois je partirais seul et tu n’aura pas à me suivre.

Cela faisait tout de même quelque temps que j’attendais mon plat lorsque le serveur arriva. Le met avait l’air délicieux et il me le posa sur la table accompagné d’un bon appétit bien mérité. J’étais vraiment affamé et je plantais ma fourchette rapidement dans la viande, je l’approchai de ma bouche lorsque que la porte s’ouvrit et quelqu’un s’approcha de moi.

« Tout est ma faute, je suis désolé. La prochaine fois je partirais seul et tu n’aura pas à me suivre ». Thomas venait d’arriver, j’avais le choix entre soit finir l’action que j’étais en trin de faire, soit poser ma fourchette et me tourner vers lui. Sachant que cela ne ressemblait pas vraiment à mon camarade de parler ainsi je déposai la fourchette contre l’assiette et le regarda dans les yeux.

« Thomas, tu n’y es pour rien, tu n’as pas besoin de t’excuser. De toute manière je ne t’ai pas vraiment suivi, on s’est retrouvé par hasard dans la foret du parc. Enfin tout ça pour dire que je suis content que l’on est pu encore une fois vivre une aventure telle que celle la, je commençais à m’ennuyer sans toi et sache que je ne te lâcherais jamais. Tu es mon frère et on ne laisse pas un frère tomber comme ça pour aucune raison quelque quelle soit. Enfin regarde où nous nous trouvons, nous avons une chance que nous n’aurons plus dans notre vie, nous avons découvert un autre monde, un monde emplit de bonté, un monde merveilleux par rapport à celui d’où nous venons ». Je saisis ces main et les serras fortement pour ne pas que ces idées divagues ailleurs de ce que je lui disais.

« Enfin, est-ce que tu as faim ? Car après nous devrons aller voir le maître des elfes, il nous attend dans sa demeure ». Je lui parlais de nourriture car mon ventre venait une nouvelle fois de crier famine. Je devais me dépêcher de me rassasier ou alors je ne pourrais plus tenir très longtemps moralement. Je deviendrais fou, je mangerais tout ce qui se trouve dans mon passage tel un cannibale mangeur d’hommes et de bois. *Enfin je suis toujours fou et si je ne mange pas je deviendrais encore plus fou que je ne le suis habituellement*.
Je fis signe au serveur pour qu’il vienne à la table au cas ou Thomas veuille quelque chose.

Tom vit qu'il dérangeait Ito dans son repas. Mais son frère lui dit alors les paroles qu'il avait besoin d'entendre. Ito le rassure, l'encourage, le soutient. Tom plongea ses yeux dans ceux de son frère. Il comprit qu'il avait eut des pensées nulles, qu'il n'avait pas réfléchi. Il s'en veut, il se sent nul et con. Il se promit qu'il doit réfléchir avant de pensé, avant de parlé, avant de faire quoique se soit. Thomas écoute toujours Ito puis alors celui ci le prend dans ses bras et le secoue un peu en lui demande si il a faim. Tom était encore dans les paroles de son ami. Pas d'excuse, pas sa faute, content, frère, vie. Tous les mots qui résonné dans la tête à Thomas.

Il se dit alors que c'était vrai, Thomas n'aurait jamais lâché Ito dans n'importe quelle situation. Il savait bien que c'était une aventure folle, terrifient pour lui mais Ito ne le savait pas. Thomas se promit de gardé le secret sur ce qui c'est passé avec l'homme bête. Il devait alors aller voir le maître des elfes. Cela devait être celui qu'il avait vu ce matin. Tom voit alors Ito qui commence à manger comme un ogre. Il sourit légèrement et voit alors le serveur. Il se dit qu'il devrait peut être mangé, mais il lui demande juste une pomme. L'homme lui apporte de suite et Tom croque dedans. Il ne mangeait que rarement, c'était très impressionnent même après des moments éprouvent, il ne mangeait qu'une pomme. Mais Thomas ne se prenait pas la tête là dessus. Il regard Ito qui continue de mangeait mais reste silencieux.

Une fois qu'Ito eut enfin avalé ces 200g de viande et tout le reste de légumes, de patates et autre chose étrange de ce pays. Ils fallait qu'ils se rendent à la salle ou les attendait le maître. Tom n'avait aucune idée d'ou se trouve cette salle ou chambre ou trône. Ito par contre savait, il avait l'air de savoir pas mal de chose sur cet endroit. Tom se repasse les paroles de son frère. Un autre monde, plus beau, plus mieux. C'était tout de même étrange, qu'il soit tombé dans une autre dimension, genre Cube ^^ Tom était très septique à ses idées. Il se dit que peut être Ito avait déjà vécu ici, peut être que c'était dans une ancienne vie qu'il avait était elfe. Tom n'avait jamais put être elfe ou alors un elfe noir venant des ombres *rire* Tom était un peu désespéré par les couloirs et les terrasses si belle et si lumineuse. La soleil (et Oui chez les elfe le soleil est un astre féminin ^^ ) se lève doucement et prend un peu plus d'élégance au fils du temps. Tom regarde le ciel et se demande alors si c'est le plafond de la grotte ou alors si c'est un vrai ciel dans une autre dimension. Tant de question tourne dans sa tête qu'il ne se rend même pas contre qu'ils étaient arrivés. Ito lui jeta un regard comme pour lui dire que tout va bien, comme un grand frère (c'était rare chez lui, il se sentait vraiment bien ici) Ito poussa la porte élégamment et entra suite de Thomas. Le Maître des elfes était là, debout droit comme un I et coiffer comme un ^ *arrête Thomas* Il était beau, gracieux, comme tout les représentant de la race elfique. L'homme s'approcha en amis. Thomas était déchiré entre deux sentiments, la peur, la haine et la colère et l'ébahissement, l'enthousiasme. Il n'avait pas l'habitude de voir des gens qui dégage autant de joie autour d'eux. Et Thomas souffrait de la joie des autres. Ito avait lui l'air beaucoup plus calme. L'homme prit la parole.

Mes chers amis, j'espère que l'hospitalité vous convient *petit regard vers Thomas* Et que les plats sont à votre goût * regard vers Ito* Vos visages ont meilleur mine ?