En haut du petit mont. [pv Thomas]

Lola était revenu du centre culturel où elle avait trouvé Thomas déboussolé et un autre garçon qu’elle détestait déjà. Elle était partie car elle se sentait de trop, elle savait bien que ces deux garçons avaient des choses à se dire. La fillette était donc dans le parc pour attendre Thomas. Elle savait qu’il aimait cet endroit, et elle aussi l’aimait. Elle y trouva une ambiance magique, ce grand terrain avec un lac et des bâtiments qui étaient en harmonie avec l’environnement. Surtout lorsque le soleil se coucha, cette couleur orange et rose impressionnait toujours la fillette. Depuis toute petite elle fût intrigué par ces couleurs chaleureuse, elle pensait que personne ne pouvait être insensible face à ce spectacle simple mais tellement magnifique.

Lolita avançait dans le parc, au bord du lac. Des larmes coulaient sur ses joues, elle avait peur pour Thomas. Ces deux jeunes ne se connaissaient que depuis quelques jours, mais elle s’était vraiment attachée à lui. Elle savait qu’ils resteraient longtemps ensemble. Tout semblait parfait, pas comme le début d’une relation, lorsque l’un ne peut vivre sans l’autre. Ca Lola ne le ressentait pas comme ça, c’était si différent, Thomas était quelqu’un de différent. Il était intéressant doux, passionné car il prenait tout à cœur. De plus il savait profiter de petits détailles. Lolita était également comme ça.

Près de lac se trouvait un petit mont, et Lola décida d’aller s’asseoir là haut. Elle pleurait mais cela ne lui dérangeait pas, elle n’avait pas peur de montrer ce qu’elle ressentait et savait que c’était nécessaire. Beaucoup de questions tourbillonnaient dans la tête de la fillette, mais ce qui la troublait vraiment, c’était le fait qu’il demandait pardon. Elle ne comprit pas pourquoi il voulait se faire pardonner, il n’avait rien fait de mal. C’est pour cela qu’elle s’inquiéta en se disant qu’il allait peut-être faire quelque chose de mal dans peu de temps. Elle espérait qu’il viendrait, afin qu’ils puissent discuter tranquillement. Même si son ami avait dit qu’elle ne pouvait pas l’aider, Lolita avait tout de même l’intention de faire tout ce qu’elle pouvait pour le soutenir. Même s’il était parfois froid, elle pensait qu’il ne lui en voudrait pas. Ils avaient déjà partagés des trucs importants, aux yeux de Lola en tout cas.

Lolita regarda au loin, même la chaleur dégagé par le couché de soleil n’arrivait à la consoler. Elle voulait Thomas au près d’elle, ce n’était pas un caprice, mais un besoin. Lorsque le soleil d’été s’était couché, la luminosité fut assurée par une lune presque pleine et de nombreuses étoiles. Lolita commença à repenser aux soirées autour du feu avec sa grande famille à danser et à faire la fête. Ce genre de choses manquait énormément à la fillette, elle trouvait qu’ici les gens était très froid et distant. D’ailleurs elle s’était attachée à quelqu’un d’extrêmement froid, mais il lui apportait tellement de chose que ce « défaut » était facilement effacé. C’est la tête dans les bras que Lolita s’endormit, guidé par ses souvenirs de nostalgie. Il est vrai que Lolita était fatiguée, les larmes demandent beaucoup d’énergie pour sortir, c’est pour cela qu’on est toujours fatigué lorsqu’on pleure. C’est une des émotions les plus intenses, car il est très difficile de pleurer pour des choses qui ne nous tiennent pas à cœur.

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Tom avait fini de parlé avec Ito, il avait réglé quelques tit choses, en tout tranquillité. Mais Tom avait encore peur, peur de perdre Ito, ce frère qu'il aimait tant. Il n'avait pas trouvé Lola dans le campus. Il n'avait cherché des les salles de classe ouverte, dans le foyer, dans le réf, il était même allé à la bibli. Il se doutait qu'elle n'y saurait pas. Il savait où elle pouvait être. Il prit alors la direction du parc. Il avait tourné tellement de temps le campus que le soleil c'était couché. Tom ne l'avait même pas vu, il n'en voulait, il n'aimait pas manqué un couché de soleil, il trouvait cela tellement beau, cela lui rappelait qu'il n'était que des hommes sans vraiment d'importasse. Cela l'aider à prendre la vie plus simplement. Il arriva dans le parc, il cherchait Lola dans les bosquets, prés des grands arbres, il vit alors une tit silhouette près du lac contre un arbre. Pas de doute, c'était Lola. Il s'avança, elle n'avait pas l'air d'avoir vu. Tom comprit vite qu'elle dormait. Il s'assit à côte d'elle, il sorti alors de son sac, qu'il avait toujours sur lui, un pull. Son seul pull, il le mit sur les épaules de Lola, et il la prit dans ces bras. Ce contacte lui faisait peur, il avait un peu mal au ventre, ces brûlures le faisait un peu souffrire mais très vite. Tom senti la chaleur de Lola et tout disparut comme dans un rêve. Il regardait les étoiles qui brillaient dans le lac, il sentait la chaleur du soleil disparaître. Il sourit, il était bien là avec elle.

Lola se trouvait dans un sommeil sans rêve, pour une fois depuis longtemps elle ne pensait à rien. Ce sommeil allait pouvoir la soulager, enfin se trouver dans un état dans lequel on n’est plus inquiet pour rien. En temps normal, elle aurait eu un sommeil agité à cause de toute cette agitation d’aujourd’hui. Même si l’air commençait tout doucement à se refroidir, Lola était bien là, confortablement installé contre l’arbre. Elle ne se serait réveillé qu’au petit matin, lorsque la rosée l’aurait trempé, car mouillé, le corps humain ressent encore plus le froid. Autour de Lola, aucun bruit n’était présent, la nuit avait fait en sorte que tous les animaux dormaient, les élèves partis se réfugier à l’intérieur. Seuls les chouettes étaient de sortie afin de pouvoir chasser, mais elle sont réputer pour pouvoir se mouvoir sans aucun bruit. Dans cette nuit éclairé, une seule personne était là qui perturbé se silence naturel. C’était Thomas qui était toujours à la recherche de Lola. La fillette s’était installé au bord du lac pour pouvoir profiter du coucher de soleil, mais également parce qu’elle pensait que ce serait le premier endroit que Thomas visiterait. Mais elle s’était trompée, apparemment le jeune homme avait fouillé toute l’université afin de trouver Lola sans succès.

Le jeune homme se trouvait donc à présent près du lac, en voyant la fillette, il s’approcha d’elle afin de pouvoir discuter sur ce qu’elle avait pu voir au centre culturel. En s’avançant, Thomas remarqua que la jeune femme dormait à point fermé. Il s’installa à côté d’elle et couvrit les épaules de Lola avec son pull. Même ce tissu qui venait effleurer sa peau ne la réveilla pas, Lola avait le sommeil lourd. C’est seulement lorsque Thomas la prit dans ses bras que Morphée laissa repartir Lola du pays des songes. Les yeux de la fillette s’ouvrirent tout doucement, elle ne savait pas trop où elle était, mais elle s’avait immédiatement dans les bras de qui elle se trouvait. Thomas dégageait quelque chose que Lola pouvait percevoir sans même le voir. Elle leva lentement la tête, elle avait reprit pleinement ses esprits et venait de remarqué l’effort que venait de faire le jeune homme pour la prendre dans ses bras, elle en fût touché par cette attention que lui portait son amour. Elle regarda plongea ses yeux dans ceux du garçon, elle aimait cette sensation qu’elle ressentait lorsqu’ils s’échangèrent un regard. Ca plus les papillons se baladant dans son ventre, Lola était contente d’être sortie de son sommeil. Elle réalisa soudainement qu’elle devait avoir les yeux rouges et encore remplis de larmes. Elle frotta vite ses yeux, elle n’avait pas envie que Thomas sache qu’elle avait pleuré. Lola était une fille forte en général, et elle se doutait bien que son amour s’en voudrait s’il savait que c’était en partie à cause de lui qu’elle avait pleuré.

Lola remarqua que Thomas était là dehors, en t-shirt à cause d’elle. Elle dit avec une voix un peu tremblante :

-Tu n’as pas froid ? Tu peux reprendre ton pull si tu veux, tu es là à cause de moi…

Et puis elle n’avait pas froid, car elle se trouvait dans les bras de son bien aimé, et cela, c’était ce qu’il y avait de plus chaleureux au monde. Elle posa sa tête sur l’épaule de Thomas, elle était là si bien. Elle aurait pu rester toute sa vie comme ça. Lola regardait les étoiles aux loin, une nuit étoilée sans nuage pouvait offrir un spectacle très romantique, de plus l’université d’Yggdrasil se trouvait en hauteur, les étoiles paraissaient plus grosses. Elle brisa le silence en demandant :

- Ca s’est arrangé avec l’autre garçon ?

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Tom senti que Lola s'était réveillé. Il s'en voulait, il se dit qu'il n'aurait pas du la touché, il savait que cela allait la réveillé, il s'en voulait maintenant. Il regarda alors Lola qui lui demandait si il avait froid, il n'avait jamais froid. C'était une sensation de douleur qu'il avait oublié avec ses parents. Comme celle de prendre des coups, il y avait des choses comme cela que le corps à fort de les subire ne les sentait plus. Tom eut envie de sourire en lui expliquant, il aurait put, c'était Lola, il n'avait rien à lui caché. Il prit alors son courage à deux mains, si on peut dire, puis ouvrire légèrement la bouche pour prononce les mots doucement de sort qu'elle les entend tous clairement.

Je n'ai jamais froid. J'ai oublié ce que cela faisait. Garde ce pull, il te va mieux à toi en plus.

Tom ferait-il de l'humour, Lola avait vraiment des effets magique sur lui. Il entendit alors la question qui avait rapport avec Ito. Il baissa la tête, cela n'était arrange oui et non. L'amitié était un fleur qu'il fallait soigné plus que tout.

Tout va bien Oui.

Tom la serra doucement dans ses bras. Assez pour qu'elle sente sa chaleur mais pas assez pour lui faire mal ou lui couper le souffle. Tom avait bizarrement la notion de sa force et en user avec parcimonie. Il était de ces gens qui ne prête pas mine, mais qui faisait très mal des fois. C'était pour cela qu'il était tant apprécié dans les gangs. Il regarda alors les étoiles et l'univers devant eux. Il eut alors la boule au ventre. C'était tellement beau d'être là avec Lola, presque comme un vrai couple. C'était une sensation nouvelle que Tom aimait beaucoup. Peut être que dans cette instant il allait se transformé en un vrai homme, un vrai gentleman, un vrai don juan.

Lolita était dehors, dans les bras de son bien aimé. Elle était là bien, sur son dos se trouvait le pull de Thomas qui portait son odeur. Elle aimait cette odeur, elle ne sait pas trop comment la décrire, mais elle utiliserait des mots comme doux, discret et sensuelle. Mais ce sont des mots utilisés par quelqu’un d’amoureux, ce n’est donc peut-être pas un avis le plus objectif. Tous les deux avaient le regard au loin dans les étoiles, le ciel était beau, le temps était doux et le compagnon de Lola était parfait. Que demander de plus ? Elle était aux anges, il ne fallait rien changer du tout.

Lolita proposa de rendre le pull à Thomas par politesse car elle voyait qu’il n’avait pas froid. D’ailleurs, le jeune homme sembla faire confiance à Lola car il lui expliquait des choses qui était en rapport directe avec son passé plus que douloureux. Elle était touchée par cette marque d’affection, car elle savait qu’il lui était difficile de raconter ces choses. En fait il avait dit :

- Je n'ai jamais froid. J'ai oublié ce que cela faisait. Garde ce pull, il te va mieux à toi en plus.

Lola souriait, elle avait mit le pull et ce vêtement était beaucoup trop grand pour elle. Ses mains ne dépassaient même pas des manches, et on aurait pu la rentrer deux fois dans ce pull. Elle lui souriait, il la faisait rire, elle dit :

- Et bien tu fais de faux compliments maintenant ? J’ai l’air d’un sac comme ça. Je vois que tu commencer à comprendre le fonctionnement de la drague.

Elle riait parce qu’elle se doutait que cela allait gênait Thomas. Elle reprit :

- Et bien je veux bien te donner ma sensation de froid, elle ne m’est pas très utile.

Reprenant son sérieux, elle demande si ça c’était bien passé avec l’autre garçon qu’elle ne portait pas vraiment dans son cœur. La réponse du garçon n’était pas très convaincante, Lola savait que ce n’était pas tout à fait réglé. Mais si il lui avait dit que ça était, elle n’allait pas chercher plus loin, c’est qu’il n’avait pas envie de s’étendre sur le sujet. Lolita ne lui répondit pas, elle ne voulait pas jouer faux jeu en disant « tant mieux » tout en souriant. Et puis peut-être que dans un sens, ça l’arrangeait un peu. Ce n’est pas beau de le dire, mais il n’est pas facile de supporter le fait que le meilleur ami de son amour soit quelqu’un qu’on n’apprécie pas.

Thomas sera un peu plus Lola dans ses bras, ce qui surprit la fillette. Peut-être que finalement le garçon commençait à apprécier le contact physique avec Lola. Elle souriait, ce petit acte représentait beaucoup pour la fillette elle se disait qu’il devait faire un effort pour faire ça, tout ça pour le plaisir de la fillette. Car il devait savoir que c’était aussi important pour elle. Elle tourna la tête vers Thomas, elle le trouvait si beau, ses yeux reflétaient la lueur des étoiles, on aurait pu croire que ses yeux brillaient plus que le ciel rempli de ses points lumineux. Elle voulait l’embrasser, mais elle pensa que ce serait à Thomas de faire le premier pas. Toutefois, elle lui posa un baissé sur la joue et lui murmura dans l’oreille :

- Tu es magnifique ce soir, encore plus que d’habitude. Je tiens beaucoup à toi…

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Et bien tu fais de faux compliments maintenant ? J’ai l’air d’un sac comme ça. Je vois que tu commencer à comprendre le fonctionnement de la drague.

Tom a ces mots eut envie de la lâcher. Pourquoi lui disait-elle ça. Elle avait du le sentir car elle reprit avec un peu d'humour. Tom resta alors de marbre, il était bien, mais chasser la nature et elle revient au galop. Il essaye de ce dire que c'était de l'humour de jeune fille. Il se dit que c'était pas grave, il essaya de pensé à autre chose. Quand la jeune Lola plongea alors son regard dans le sien et trés romantiquement lui dit...

Tu es magnifique ce soir, encore plus que d’habitude. Je tiens beaucoup à toi…

Tom alors la lâcha et se recula vivement. Il regardait Lola avait des yeux d'un cheval qu'on va abattre. La dernier personnes qui lui avait dit ça, c'était sa mère avant de le battre à mort, suivit des mois de comas, de mois de mort, car il avait était mort cliniquement. Tom avait la respiration fort, il se sentait mal, très mal. Il ne quittait pas Lola des yeux comme si elle allait le tue d'un moment à l'autre. Ces cheveux si beau juste avant devait lui donné un air de cheval fou. Ces yeux cherchaient des réponses sans les trouves.

La nuit avançait, mais ils étaient toujours aussi bien l’un avec l’autre. Lola commença à faire de l’humour, mais celui-ci ne semblait pas l’apprécier car il relâcha légèrement ses bras autour de la fillette. Elle comprit donc qu’il n’avait pas vraiment le sens de l’humour, mais ce n’était pas grave, maintenant qu’elle le sait, elle n’en ferrait plus. Lolita semblait avoir la capacité d’accepter tous les défauts du jeune homme. Elle ne voyait que les éléments positifs du caractère mais également du physique du jeune homme. Car les cicatrices présentes sur beaucoup d’endroit de son corps ne dérangeait plus la fillette. Elle espérait que tout ça est réciproque, car Lola savait qu’elle avait des défauts elle aussi. Mais elle se doutait qu’il faudrait plus de temps avant qu’elle puisse savoir quoi que ce soit concernant les sentiments de son beau blond. Afin de précipiter peut-être un peu les choses, mais également parce qu’elle sentait que c’était le moment, elle lui fit par de ses sentiments.

La réaction du jeune homme fût des plus étonnant. Au lieu de rougir, d’en parler, ou de l’embrasser, Thomas lâcha soudainement Lola et commença à reculer à toute vitesse le plus loin possible de la fillette. Lola en resta bouche bée, elle ne savait pas ce qui se passait. Elle voyait Thomas en panique, et ne comprenait pas vraiment pourquoi. Elle s’en voulait, c’était peut-être trop tôt. Mais cela ne justifia pas cette réaction excessive de peur. Le regard de Thomas était effrayé, il était paniqué. Lola chercha ce qu’elle avait fait ou dit pour mettre quelqu’un dans cette état. D’une petite voix elle dit :

-Je suis désolé… je ne pensait pas que j’allais te choquer en disant ça. Je savais que pour ta part ce serait trop tôt mais il ne faut pas avoir peur… Tu sais je t’ai dit que j’attendrais le temps qu’il faut, même si nous ne sommes pas ensemble, j’ai envie de rester à tes côtés.

Lola était complètement perdue, elle avait peur d’avoir brusqué Thomas et de le perdre par la même occasion. C’était bien la dernière chose qu’elle cherchait, surtout en disant ces mots qui était venu du cœur. Elle n’avait finalement même pas demandé à Thomas pourquoi il avait si peur tout à coup. Elle avait peur de lui dire des choses qui pourrait le brusquer. Elle commença même à avoir peur de ce qu’elle voulait dire car elle n’était pas toujours doué avec les mots et elle ne voulait certainement pas aggraver la situation, même si cela parait impossible.

Première année Nombre de messages : 129 Date d'inscription : 17/06/2007

C'est rien. Juste...ma mère m'a dis ça avant de...avant de m'envoyé à la mort....

Tom se leva, il n'avait jamais parlé de ça à personne. il prit son sac et regarda la lune. Lola était la 1ere personne à qui il en parlait, il se surprit lui même. Il aimait beaucoup Lola, son tit sucre d'orge...Il plongea son regard dans le sien, il avait tant encore à lui apprendre de lui. Il était bien parti se soir pour lui en dire plus que jamais. Il avait envie de lui prouvé qu'il l'aimait et c'était le seul moyen qu'il avait trouvé. Il ne savait plus trop comment lui dire. Il aurait voulut lui parlé de son père, il aurait voulut....Il fallait juste qu'il se lance.

Lola écoute....

Quand j'était jeune....Mon père était assez aisé mais il voulait un fils parfait. Et tout les soirs pour m'apprendre la vie disait-il, il me....battait

Tom reprit son souffle, ces mots lui arracha le cœur. Ces mots qu'il n'avait jamais, JAMAIS osé prononcé. Il avait fait comme si tout était un rêve. Tom venait de changé du tout au tout. Pour Lola, et grâce à Elle. Il venait de faire un grand pas pour sa tit vie.

....Ok....Ouf...Mais un jour, j'ai...je l'ai tué....Mais ma mère m'a battu à mort, j'était mort clinique pendant quelques temps. Mais par mirage ou malchance, je suis tombais dans le coma pendant des mois, puis un jour au réveil, j'ai fui.

Ok, bon tant pis FIN

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